Chapitre n° 12 - (VERSO)
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s’il laisse à l’occasion des traces de boue dans la maison.
Tout fut ainsi réglé et, avant que nous n’ayons eu le temps de nous en apercevoir, tante Olivia était plongée jusqu’au cou dans les préparatifs de la noce pour lesquels Peggy et moi étions tout à fait indispensables. Elle nous consultait à propos de tout et nous vivions pratiquement chez elle pendant ces jours précédant l’arrivée de M. Malcolm MacPherson.
Tante Olivia se sentait tout simplement heureuse et importante. Elle avait toujours désiré se marier; n’étant absolument pas une forte tête, son célibat était une épine dans son flanc. Je crois quelle le considérait co comme une sorte de disgrâce. Elle était pourtant
ANNOTATION TEXTE
Passage de « Aunt Olivia's Beau » (Le soupirant de tante Olivia).