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Chapitre n° 10

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avant de puiser en lui-même le courage nécessaire pour tapoter la porte et puis du bout des doigts, et l’ouvrir enfin pour jeter un coup d’œil.

Anne était assise sur la chaise (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)jaune (fin superscript)près de la fenêtre, regardant le jardin d’un air maussade. Elle semblait si petite et malheureuse que Matthew en fut profondément remué. Il referma la porte, très doucement, derrière lui, et s’avança, sur la pointe des pieds, vers Anne.

– Anne, murmura-t-il, (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)comme si quelqu’un eût pu l’entendre,(fin superscript) comment allez-vous, Anne?

Anne eut un sourire triste.

– Assez bien. Mon imagination est fertile, et cela m’aide à tuer le temps. Bien sûr, je me sens un peu seule. Mais il vaut mieux que je m’y habitue.

Anne sourit bravement à nouveau, faisant bravement face aux nombreuses années de régime cellulaire qui la menaçaient, à coup sûr. L5

 

Notes de LMM

LMM Note L5
Matthew se rappela qu’il ne devait pas perdre de temps et vite livrer à Anne ce qu’il voulait lui dire, car Marilla risquait de revenir à tout moment[.]