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Chapitre n° 8 - (VERSO)

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quelque chose d’étrangement familier. Il s’efforça de se rappeler où il l’avait entendue auparavant; puis il comprit, il l’avait entendue avant l’arrivée de Felix, dans les paroles terribles de Naomi! Il regarda son petit-fils avec une sorte de respect mêlé de crainte. Il se trouvait devant un pouvoir dont il ne connaissait rien, un pouvoir étrange et terrifiant. Venait-il de Dieu? Ou de Satan?

La musique changea pour la dernière fois. Et ce n’était plus du tout de la musique. C’était un amour infini, un amour pouvant tout comprendre. C’était un baume pour une âme souffrante; c’était la lumière, l’espoir et la paix. Un texte de la Bible pouvant paraître très incongru vint à l’esprit de M. Leonard



ANNOTATION TEXTE

Passage de « Each in His Own Tongue » (Chacun parle sa propre langue).

ANNOTATION PHOTO

dessin à la plume et à l’encre d’un jeune garçon qui joue du violon au chevet d’une vieille femme, sous le regard d’un vieillard

« And now it was not music at all - it was a great, infinite forgiveness, an all-comprehending love » (Et ce n’était plus du tout de la musique. C’était un amour infini, un amour pouvant tout comprendre.) : l’illustration de ce moment dans la revue The Delineator en 1910.
KindredSpaces, LMMI, Bibliothèque Robertson