Chapitre n° 8 - (VERSO)
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le souffle court, les yeux fixés sur Felix. Au pied du lit, la simple d’esprit était assise, des larmes roulant sur ses joues.
Cette musique étrange exprimait la joie d’une enfance innocente et joyeuse à laquelle se mêlaient le rire des vagues et l’appel de brises légères. Puis, elle exprima les rêves fous, rebelles de l’adolescence, doux et purs dans toute leur folie et leur caractère rebelle. Cela fut suivi de la frénésie d’un amour jeune, un amour qui englobait tout, auquel on sacrifie tout.
La musique changea. Elle exprima la torture des larmes refoulées, l’angoisse d’un cœur trompé et désolé. M. Leonard faillit se couvrir les oreilles de ses mains pour ne plus entendre cette intolérable
ANNOTATION TEXTE
Passage de « Each in His Own Tongue » (Chacun parle sa propre langue).