Chapitre n° 6 - (VERSO)
546 34
mari convenable pour Margaret Leonard et sa connaissance des hommes l’avertissait que Martin Moore ne pourrait jamais rendre aucune femme heureuse longtemps.
Margaret Leonard ne le croyait pas. Elle épousa Martin Moore et vécut une année de paradis. Peut-être que cela et son enfant atténuèrent le malheur des trois années qui suivirent. Quoi qu’il en soit, elle mourut comme elle avait vécu, loyale et sans se plaindre. Elle mourut seule, son mari étant en tournée, et sa maladie fut si brève que son père n’eut pas le temps
ANNOTATION TEXTE
Passage de « Each in His Own Tongue » (Chacun parle sa propre langue)