Chapitre n° 4 - (VERSO)
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La vieille dame accepta car elle craignait que ses propres jambes ne suffisent pas à la porter jusque là; elle lui serra même la main avant de partir, et le remercia de nouveau de lui avoir accordé cette faveur.
— Ce n’est rien, dit-il. Et j’aimerais que vous tentiez de penser à moi avec un peu plus de bienveillance, cousine Margaret.
À son arrivée à la gare, la vieille dame découvrit avec consternation que son train venait de partir et qu’elle avait deux heures à attendre avant celui du soir. Elle alla s’asseoir dans la salle d’attente. Elle était épuisée. Toute la fébrilité qui l’avait soutenue avait disparu et elle se sentait vieille et faible.
ANNOTATION TEXTE
Passage de « Old Lady Lloyd. »