Chapitre n° 4 - (VERSO)
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maintenant. Je peux enfin lui pardonner le mal qu’il nous a fait, à moi et aux miens. Sylvia, j’ai découvert que j’ai laissé pas mal de chats sortir du sac au cours de ma maladie. Tout le monde connaît ma pauvreté à présent, mais on dirait que cela ne me dérange plus du tout. Je regrette seulement d’avoir tenu mes voisins à l’écart de ma vie à cause de ce stupide orgueil. Tout le monde a été si gentil avec moi, Sylvia. À l’avenir, si ma vie est épargnée, je la vivrai très différemment. Je vais l’ouvrir à toute la bonté et la camaraderie que je pourrai trouver chez les jeunes comme chez les vieux. Je vais faire tout ce qui sera en mon pouvoir pour les aider et leur permettrai de me venir en aide. Je peux aider les autres, et j’ai appris que l’argent n’est pas la seule façon de le faire. Quiconque a de la sympathie et de la compréhension à offrir possède
ANNOTATION TEXTE
Passage de « Old Lady Lloyd. »