Chapitre n° 4

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dont la douceur vous faisait tourner la tête.

Plus bas que le jardin, un grand champ vert (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)émaillé de trèfle(fin superscript) descendait jusqu’au creux où serpentait le ruisseau, bordé de dizaines de bouleaux blancs (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)R2(fin superscript). Au-delà se profilait une butte verte, tout emplumée d’épinettes et de sapins; par une petite ouverture entre les arbres, on pouvait apercevoir le coin gris d’un pignon de la maisonnette déjà entrevue du Lac-aux-Miroirs.

Vers la gauche, il y avait les grandes granges, et, au-delà, plus bas que les pentes douces des champs verts, on voyait scintiller un éclat bleu de mer.
S2

Anne Elle restait là, à genoux, écrasée par cette omniprésente beauté; une main se posa sur son épaule. Surprise par Marilla qu’elle n’avait pas entendue venir, la petite rêveuse sursauta.

— Il est temps de vous habiller, dit Marilla sèchement.

Marilla ne savait pas vraiment comment

LMM Note R2
qui prenaient leur élan aérien aérien dans un sous-bois où l’on imaginait avec délices fougères + mousses + autres merveilles des forêts.

[Dans ce chapitre, les Notes de Montgomery vont de R2-C3,oelles se trouvent dans les pages de Notes 13-15.]

LMM Note S2
Les yeux d'Anne, amoureux de la beauté, s'attardèrent sur tout, prenant tout avec avidité; elle avait vu tant d'endroits peu agréables dans sa vie, (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)pauvre enfant(fin superscript); mais ceci était aussi beau que tout ce dont elle avait jamais rêvé.