Chapitre n° 26 - (VERSO)
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moi, un club rien qu’à nous, pour rédiger des histoires afin de nous entraîner. Je t’aiderai jusqu’à ce que tu saches t’y prendre. Tu devrais développer ton imagination, tu sais. Mlle Stacy le dit. Il suffit de s’y prendre correctement. Je lui ai parlé de la Forêt hantée, mais elle a dit que dans ce cas-là, nous avions fait erreur.
C’est ainsi que le club des conteuses d’histoires vit le jour. D’abord, il se limita à Diana et Anne, mais bientôt s’élargit pour accueillir Jane Andrews et Ruby Gillis, et une ou deux autres (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)qui estimaient que leur imagination avait besoin d’être développée(fin superscript). On n’y admettait pas de garçons (commencer subscript)^(fin subscript)(commencer superscript)S15(fin superscript) et chacun des membres devait écrire une histoire par semaine.
— C’est extrêmement intéressant, dit Anne à Marilla. Chacune des filles doit lire son histoire à voix haute, et ensuite, nous
Notes de LMM
LMM Note S15
– encore que Ruby Gillis fût d’avis que leur présence rendrait la chose encore plus passionnante –
ANNOTATION TEXTE
« the story club » (club des conteuses) : Montgomery parle de sa propre expérience de club des conteuses (un peu différente) dans The Alpine Path (p. 57) et dans la longue entrée du 27 janvier 1911 dans son journal, associant faits, fiction et inspirations. (Complete Journals, The P.E.I. Years, Volume 2, p. 355–356).