Chapitre n° 2 - (VERSO)
146282 11
les arbres et quand elle parvint au petit pont de planches qui enjambait le ruisseau, au-dessous des bouleux, elle se sentit de nouveau bienveillante et tendre. Il y avait là un gros bouleau que la vieille dame chérissait particulièrement pour des raisons personnelles, un grand et gros arbres au tronc évoquant la hampe d’une colonne de marbre gris et qui étendait ses branches feuillues au-dessus de la mare dorée et immobile que formait le ruisseau au-dessous. Il avait été un jeune arbre autrefois, à l’époque de gloire aujourd’hui révolue de la vieille dame.
Celle-ci entendit des voix et des rires d’enfants plus loin dans l’allée conduisant à la maison de William Spencer, à l’orée de la forêt. L’allée avant de cette maison
ANNOTATION TEXTE
Tiré de « La vieille dame Lloyd. »