Chapitre n° 11 - (VERSO)
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jamais s’adapter à l’existence d’une vieille fille, et même tante Olivia parut s’en apercevoir. Jamais il ne s’arrêtait pour essuyer ses bottes avant d’entrer, même si, pour lui, avec ostentation elle avait posé avec ostentation un nouveau paillasson devant chaque porte. Dans la maison, il bougeait rarement dans renverser un des trésors de tante Olivia. Il fumait des cigares dans son salon et laissait tomber des cendres sur son le plancher. Il lui apportait des fleurs chaque jour et les mettait dans le premier récipient venu. Il s’asseyait sur ses coussins et roulait ses appuie-tête en boules. Il mettait ses pieds sur les barreaux de chaises, et tout cela sans distraction
ANNOTATION TEXTE
Passage de « Aunt Olivia's Beau » (Le soupirant de tante Olivia).