Chapitre n° 1 - (VERSO)
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Je me sens aussi éternellement jeune que la nature elle-même. Et oh! C’est si merveilleux de ne pas plus m’occuper des thermomètres, de la température et des caprices des autres. Laisse-moi céder à mes propres caprices, chère Louisa, et punis-moi en me donnant un repas froid quand j’arrive en retard. Je ne veux même plus retourner à l’église. C’était affreux là-bas, hier. L’église est si agressivement propre, flambant neuve et moderne. »
— On dit que c’est la plus jolie église des environs, protesta Louisa, légèrement vexée.
— Les églises ne devraient pas être jolies; elles devraient avoir au moins cinquante ans et ne devoir leur beauté qu’à l’âge. Les églises neuves sont une abomination.
ANNOTATION PHOTO

Cette page comprend du matériel provenant de la première partie de « The End of a Quarrel » (La fin d’une querelle). Cette nouvelle a d’abord été publiée dans The American Agriculturalist ainsi que dans New England Homestead en 1907. On peut voir ce dernier dans le projet University of Prince Edward Island's Robertson Library and L.M. Montgomery Institute's Kindred Spaces Initiative. Il y a d’autres parties de cette histoire aux versos d’autres pages de ce chapitre.
KindredSpaces, LMMI, Bibliothèque Robertson